« Nous allons rester très silencieux et calmes. Quand ils viendront, ils ne nous remarquerons même pas. Ou s'ils le font, ils penseront, 'Regardez comme ils sont calmes et silencieux. Ils ne feraient pas de mal à une mouche.' Oui, ils verront comment nous nous comportons et n'auront pas peur de s'approcher et alors... et alors... »
— Vezon, Jeux de Pouvoir

« Quelques grasses matinées, des dessins des cavernes, les têtes de mes ennemis montées sur un mur... ça pourrait être pas mal du tout. »
— Vezon, Fédération de la Crainte

« Encore une fois, pourquoi est-ce qu'on l'a emmené ? »
« Il brise la monotonie. »
— Spiriah et Lariska,
Fédération de la Crainte

« Où allons-nous ? Pourquoi y allons-nous ? Allons-nous quelque part, ou est-ce qu'on tourne juste en rond ? À moins que ce soit une spirale ? J'ai descendu dans une spirale autrefois : un gros tunnel de pierre qui descendait et descendait, et se terminait sur des Zyglak. Qui que ce soit qui l'ait construit, il n'avait aucun sens de la décoration. »
— Vezon à Trinuma, La Guerre du Destin

« Et tu n'as toujours pas répondu à une seule de mes cent dix questions, ni à celles qui vont suivre. »
— Vezon à Trinuma, La Guerre du Destin

« Tout est dans l'astuce, tu vois. Ils veulent que je prétende que je les trahi. Ils veulent que tu concentres tes forces contre une attaque qui ne viendra pas. Mais j'ai décidé : Pourquoi prétendre les trahir, alors que le faire pour de vrai serait beaucoup plus amusant ? »
— Vezon à Tridax, La Guerre du Destin

« Quelle collection. Pour ma part, je préfère les coquillages. Parfois les feuilles. Oh, et les têtes de mes ennemis, bien que ça prenne beaucoup d'espace. »
— Vezon à Tridax, La Guerre du Destin

« Qui es-tu et pourquoi es-tu ici ? »
« Je suis ici pour te tuer. »
« Oh. Je savais qu'il y avait quelque chose que j'aimais bien chez toi. »
— Vezon et Mazeka, Frères d'Armes

« Alors qui es-tu, exactement ? »
« Mon nom est... ah... Toa Vezon. Je suis le Toa de... de.. l'Anarchie. »
— Tarduk alternatif et Vezon, Le Règne des Ombres

« Je te connais. Tu faisais partie de mes sauveurs sur Artidax. Tu étais celui qui ne la fermait jamais. »
— Miserix, Le Règne des Ombres