« Nous avions besoin de gardiens de la loi. Au lieu de ça, nous avons eu des vampires à énergie poussiéreux et cliquetants. Ils vous auraient juste tous envoyés au Moto-Centre et vous auraient transformés en chariots pour Ussal.
Il n'y avait aucune façon de savoir si le Kralhi comprenait les paroles de Nuju, mais à coup sûr, il en saisissait le ton. Autrefois, un Matoran qui aurait parlé à un Kralhi de cette manière aurait été vidé de son énergie jusqu'à ne presque plus exister. L'ordre devait être maintenu, l'insolence devait être punie.
Ou peut-être en meubles, railla le Toa de la Glace. Nous aurions pu faire de vous des tables et des chaises. Imaginez la demande qu'il y aurait eue pour d'authentiques tabourets ou étagères à bibelots Kralhi.
 »
Toa Metru Nuju et Narrateur, Le Voyage de la Peur

« Les Kralhi entreprirent leur chasse de façon méthodique, en se déplaçant avec lenteur dans le seul tunnel que l'étranger devait logiquement avoir emprunté. Son invisibilité représentait un bien petit ennui pour eux. Leurs capteurs ultra-sophistiqués serait sûrement capables de le retracer.
Néanmoins, ce qui ajoutait un intangible excitation à cette poursuite, c'était plus que la confiance aboslue qu'ils aviaent en leur victoire. C'était quelque chose de très simple, quoique potentiellement horrible en ce qui concerneait le Toa du Feu : Mavrah n'avait pas spécifié que le fugitif devait être ramené vivant.
 »
— Narrateur, Le Voyage de la Peur