Voyage à Po-Koro

La Boutique à Souvenirs

Po-Wahi est une terre sèche et aride de sable et de pierre. Au début, je pense qu'il n'y a personne au quai pour m'accueillir. Mais en regardant aux alentours, je remarque un marchand solitaire et ses biens.

« Hé ? Qu'est-ce que c'est ? » demande-t-il. « Désolé. On n'a pas beaucoup de voyageurs autour de Po-Wahi ces temps-ci. Qu'est-ce que je peux faire pour toi ? Tu as besoin d'un bateau ? D'information ? Ou un souvenir, peut-être ? »

Espérant en apprendre plus sur la culture locale, je demande « Qu'est-ce que Po-Wahi ? »

« Po-Wahi est... et bien, il n'y a pas grand chose, vraiment, surtout du sable... des tas de sable. Mais il y a des canyons, qui sont très agréables à regarder, si le soleil ou les Rahi ne vous attrape pas en premiers... et le Chemin des Prophéties, fait par les anciens sculpteurs. »

« Po-Koro est un endroit décent, également, et ne manque pas les jeux.. Sur Mata Nui la plupart font le détour pour voir un match de Kolhii, lorsqu'ils le peuvent. Il n'y a pas eu beaucoup de visiteurs ces derniers temps, par contre. »

Je remercie le marchand pour son aide et me met en marche, suivant le chemin de pierre devant moi. « Reste loin du soleil ! » me dit-il alors que je pars.

J'arrive à un croisement de la route et doit choisir un chemin. L'écriture commence à m'être familière maintenant. Est-ce que ma mémoire me revient ? Quoi qu'il en soit, je choisis le chemin de gauche, certain qu'il me mènera à Po-Koro.

Le chemin est long et monotone, mais je finis par arriver à un autre croisement de la route. Un sculpteur de pierre s'y trouve, travaillant durement. Alors que j'admire son travail, il me parle.

« Assez chaud pour toi ? » demande-t-il. « Et une autre œuvre d'Hafu… » dit-il en montrant son travail. « Waouh… Parfois je m'impressionne moi-même ! Peux-tu deviner ce que c'est pour le moment ? »

Je ne peux pas, et secoue donc la tête « Non ».

Il semble sentir que je ne suis pas là pour discuter. « Si tu cherches Po-Koro, voyageur, prend le chemin de droite. Ma droite. Ou est-ce ta droite ? »

Je le remercie pour son aide, quelle qu'elle soit, et prend le chemin de droite. Ma droite. Et rapidement, je le vois.

Po-Koro

Po-Koro

Une merveilleuse porte de pierre se tient devant moi. Le chemin est surveillé par six magnifiques énormes visages de pierre. Je me demande s'ils sont aussi le travail d'Hafu, le sculpteur de pierre avec lequel je venais de parler ?

Je traverse la porte et arrive au milieu d'une place de marché florissante. Le son des animaux et des marchandages remplit l'air. Je parle avec un marchand proche.

« Bonjour étranger ! Est-ce que tu recherches une bonne Balle de Koli ? Laisse-moi te recommander la Comète, notre modèle le plus populaire. »

« Qu'est-ce qu'une balle de Koli ? » demandé-je.

« Et bien, les Balles de Koli servent à jouer au Koli, bien sûr, » répond-il. « Tu vas vouloir une Comète — notre modèle le plus populaire. En échange de deux oiseaux picoreurs Husi, ou équivalent. »

Je lui demande, « Où obtiens-tu ces Balles de Koli ? »

« Et bien, ça, c'est une information pour privilégiés, mon ami. Disons juste que j'ai une source secrète... »

« Comment puis-je acheter une Balle de Koli ? » me demandé-je à voix haute.

« Nous échangeons ici comme dans le reste du bazar », répond-il. « Si tu as quelque chose qui vaut la peine d'être échangé, je te donnerai une Balle de Koli en échange ! »

Je n'ai rien à échanger, donc je lui dit au revoir.

« Reviens quand tu veux... Nos balles Comètes sont les meilleures de Mata Nui. Tout le monde en veut une ! Ne soit pas le seul Matoran à Po-Koro sans une Comète ! »

Je vois une hutte avec une porte ouverte sur ma gauche. J'entend quelqu'un sculpter la pierre à l'intérieur. Je décide d'entrer dans la hutte. Le grand personnage à l'intérieur m'accueille.

« Bonjour, aventurier ! Tu es venu à une époque malheureuse à Po-Koro, crains-je. Je suis sur le point d'annoncer aux miens que le prochain match de Koli devra être annulé. Je ne pense pas que même notre grand Pohatu pourrait jouer au Koli dans un temps comme celui-ci. »

« Qui es-tu ? » demandé-je.

Turaga Onewa

« Je suis Onewa, Turaga du village de Po-Koro », répond-il. « Les Matoran d'ici sont des maîtres sculpteurs, et leur travail fait l'envie de tout Mata Nui. Mais aujourd'hui, je ne fais pas des œuvres d'art. À la place, je fais des lits. »

« Je fais de mon mieux pour apporter du confort aux malades de ce village, mais ce n'est qu'un reconfort passager. Nous ne savons rien de cette maladie, combien de temps elle durera, ou d'où elle vient. Si on ne s'en occupe pas, je crains que la Folie... »

Il ne finit pas sa phrase. Curieux, je lui demande pourquoi il annule le match de Koli.

« Une sombre maladie a corrompu mon peuple et mon village. Même si beaucoup continuent à travailler, et visiter le bazar, et jouer au Koli, ils se cachent la vérité, et mettent la force et le devoir avant la peur. »

« Huki, un de nos plus grands champions de Koli, a été un des premiers à tomber malade. Il s'est affaibli, et ne peut plus bouger de son lit. Je crains que l'on voit bientôt en lui les débuts de la Folie, la même force diabolique qui prend les Rahi sauvages lorsque leurs masques sont infectés. »

Si Huki est leur plus grand champion de Koli, je me demande qui est Pohatu ? Je décide de demander.

« Pohatu est le Toa des Matoran de Po-Koro, » me dit Onewa. « Sa grande force peut faire tomber des montagnes, et le Kanohi Kakama lui donne une vitesse supérieure à celle de n'importe quelle créature sur Mata Nui. »

« L'ironie est que la force et la vitesse de Pohatu ne peuvent pas nous aider. Un ennemi qui ne peut être ni vu ni senti nous maudit. »

« Vakama, de Ta-Koro, a envoyé quelques membres de sa Garde pour nous aider, mais ils n'entreront pas dans le village par peur d'être contaminés par la maladie. À la place, ils errent dans les collines pour chercher Pohatu, qui est sur une quête pour les Masques de Pouvoir. Mais sans savoir d'où vient la maladie, il y a peu que qui que ce soit puisse faire... même le grand Pohatu. »

« Je suis distrait par le grand nombre de problèmes de Po-Koro, aventurier, et j'ai peu de temps à te donner. Penses-tu que tu pourrais me donner un indice sur comment guérir cette maladie ? »

Je ne peux pas, et dit donc au revoir à Onewa.

« Je te souhaite la vitesse de Pohatu, aventurier » dit-il alors que je pars. Il retourne ensuite à sa pénible tâche de sculpter des lits pour les malades.

Koli

Le terrain de Koli

Curieux, je vais voir le terrain de Koli. Là, je rencontre quelqu'un jouant avec une balle de Koli. Il m'accueille avec un vigoureux « Hup ! Hup ! Hup ! »

« Est-ce que tu es là pour un match de Koli ? » demande-t-il. « J'apprécierais quelques coéquipiers pour jouer. Tous les autres sont partis chez eux. Ils ne se sentent pas bien. Même Huki ne joue plus. Et j'ai juste eu une nouvelle Comète ! J'ai donné deux Husi pour l'avoir. »

J'aimerai en apprendre plus sur le jeu, donc je demande « Qu'est-ce que le Koli ? »

« Qu'est-ce que le Koli ? » répète-t-il, incrédule. « Tu ne dois pas venir du coin ! Le Koli est le meilleur sport de Mata Nui. C'est incroyablement simple, mais ça demande beaucoup plus de talent que les sports auxquelles ils jouent dans les autres villages ! »

« Le Koli est joué dans un terrain de Koli. Tu te tiens dans le plus grand de Po-Wahi, mais tous ne sont pas aussi beaux. Tout ce dont il y a besoin est quatre buts, un de chaque côté d'un carré. Il y a quatre joueurs. »

« Chacun des buts est gardé par un Matoran. Pour gagner, il faut envoyer des balles de Koli — comme celle-ci — dans n'importe lequel des trois autres buts, tout en empêchant les autres joueurs d'envoyer leurs balles dans ton but. C'est ça ! »

Me rappellant qu'il en avait une nouvelle, je demande, « Qu'est-ce qu'une Comète ? »

« Une Comète est le meilleur type de balle de Koli que l'on puisse avoir », dit-il. « Tout le monde en achète une maintenant. Elles sont parfaitement équilibrées, donc c'est très dur de mal viser, et lorsqu'on les frappe, elles volent aussi vites qu'une comète ! Ils n'ont commencé à les échagner que récemment au bazar. Je ne sais pas où est-ce qu'ils les obtiennent, mais celui qui les a sculptées est vraiment un maître. »

Souhaitant en apprendre plus à son propos, je demande, « Qui est Huki ? »

« Qui est Huki ! Quoi, seulement le meilleur joueur de Koli de tous les temps. Du moins... il l'était. Il est tombé malade il n'y a pas longtemps, et je ne l'ai pas beaucoup vu aux alentours. Il vit juste de l'autre côté du terrain de Koli. »

Maintenant que je sais où vit Huki, je sens le besoin pressant de délivrer le message que Maku va bien. Peut-être que ça l'aidera à aller mieux. Je dis au revoir à l'étranger du terrain de Koli, mais alors que je pars, je l'entend :

« Hup ! Hup ! *tousse* »

Lui aussi est affecté par cette mystérieuse maladie ? Je vois ce qui doit être la hutte d'Huki alors que je quitte le terrain de Koli. Elle est marquée d'un 'X' pour que tous sachent que celui qui y habite est malade. Alors que j'avance vers la hutte, je passe un spectateur isolé dans les tribunes, espérant toujours que le match de Koli aura lieu.

J'entre dans la hutte et trouve Huki à l'intérieur. Il est très malade, mais me crie dessus avec une grande force : « Reste loin de moi ! » Puis il continue, beaucoup plus faiblement, « Je veux juste qu'on me laisse seul. »

Peut-être que ce n'est pas Huki après tout, pensé-je. Je décide qu'il vaut mieux demander et être certain. « Qui es-tu ? »

Huki with the epidemic

« Je suis... Huki... » répond-il. Les mots sortent avec beaucoup de difficulté.

« Pourquoi es-tu malade ? » demandé-je.

« Je ne sais pas... » dit-il avec difficulté. « Je suis là depuis — combien de jours ? Je ne suis plus sûr... je le savais. »

« Tu dois partir. Je me sens... étrange. Personne ne doit venir ici, particulièrement Maku. Ne lui dit pas que je suis malade, ça l'inquiétera... elle ne doit pas me voir comme ça, elle ne doit pas... »

Incapable de supporter plus de conversation, Huki crie « Pars ! » Je ne peux que lui obéir.

La Vérité sur les Balles Comètes

Je décide de retourner voir l'étranger sur le terrain de Koli, mais je remarque qu'il est parti. Il a laissé sa Comète ! Je me résous à le trouver et lui rapporter, mais alors que je vais la ramasser, une mystérieuse substance semble en suinter et couvrir la balle.

Qu'est-ce que cela peut signifier ? Je décide de montrer la balle à Onewa pour voir s'il sait. Au début, il est étonné.

« Quoi ? Mais c'est juste une balle de Koli... »

« Hum. Mais pas n'importe quelle balle de Koli ; c'est ce type spécial qui est échangé au bazar, et qui est devenu très populaire. Merci, aventurier, de m'avoir montré ça. Tu es aussi noble que ta réputation le dit, et plein de ressources. »

« Cela ouvre mes yeux à de nombreuses choses. Si ces balles sont la cause de la maladie, alors nous devons les éloigner du village, et les jeter dans la mer. Mais elles sont très populaires et les Matoran de Po-Koro accordent plus de valeur au Koli qu'aux Matoran de Po-Koro. Je ne peux pas les prendre aux miens à moins que j'ai la preuve qu'ils soient la cause. »

La balle Comète

« Cependant, c'est un indice vital. Je sais qu'un marchand du bazar vend ces balles — tu dois trouver d'où est-ce qu'il tire ces balles. Mais fait attention, s'il est impliqué d'une façon ou d'une autre dans ce complot, alors il ne voudra pas que tu le découvres. »

« Le mal qui a visité Ga-Koro sur les vagues a atteint, semble-t-il, notre océan de sable. Je crains que Makuta se soit projeté à Po-Koro. Je sais que la source de ce mal doit être trouvée ou tout pourrait être perdu. »

« Si la Garde de Vakama peut trouver les Toa, je suggérerais à Pohatu qu'il te cherche, et ensemble j'espère que vous pouvez faire ce qui est nécessaire. Si les malades n'avaient pas besoin de moi, je serais venu t'aider dans ta quête. »

« Peut-être que je peux te donner des informations qui t'aiderons à révéler ce grand mystère ! » me demande-t-il.

Je pense ne rien avoir d'autre à demander à Onewa, donc je retourne au marchand de Comètes à la place du marché. Il ne souhaite pas plus me dire où est-ce qu'il obtient ses balles que lorsque je lui ai demandé plus tôt. Mais alors qu'il est occupé avec un autre client, je remarque un étrange objet parmi les Balles de Koli. Je le glisse dans mon sac sans qu'il ne le remarque.

Carrière de Po-Wahi

Peu sûr d'où est-ce que je vais ou ce que je cherche, je décide de repartir par où je suis venu. Je vois rapidement Hafu, toujours à travailler sur son dernier chef d'œuvre. Je reste à gauche et me dirige vers ce que je pense être une carrière.

La carrière est remplie d'énormes sculptures de masques. En-dessous de chaque masque se trouve un petit trou. Ai-je dans mon sac la clé pour résoudre ce mystère ? C'est le seul moyen de le découvrir. Je place l'objet que j'ai « emprunté » au marchand de Comète dans chaque trou, un par un, jusqu'à finalement trouver celui dont la porte s'ouvre.

À l'intérieur de la grotte, je découvre une pile de Balles de Koli Comètes. Elles sont toutes infectées comme celle que j'ai donné à Onewa. Mais je ne suis pas seul dans la grotte. Un grand scorpion Rahi bleu m'a remarqué.

Pohatu combattant le Nui-Jaga

Juste alors, un grand étranger apparaît dans la grotte avec moi. Le scorpion vise et envoie un coup aveuglant. Il semble être OK à part qu'il ne peut pas voir. Il me parle.

« Aventurier, le scorpion m'a aveuglé pour un moment. Il va falloir un peu de temps avant que ma vue ne revienne ! Dis-moi ou envoyer la balle, et ensemble nous pouvons détruire le nid du Nui-Jaga ! »

L'étranger se déplace avec une vitesse étonnante. Même si le Nui Jaga repousse plusieurs de nos tirs, nous commençons rapidement à briser les colonnes vertes qui constituent le nid du Nui Jaga. Après que les derniers aient été détruits, le Nui Jaga bat en retraite alors que le plafond menace de s'effondrer sur nous.

« Partons d'ici » dit l'étranger. Nous nous retournons tous deux pour fuir. Je cours aussi vite que possible, mais je sens que je ne vais pas réussir. L'étranger commence à accélérer puis soudainement nous sommes loin de la grotte, observant un nuage de poussière et de pierre sortir de la bouche du visage.

« Excellent mon ami ! » s'exclame l'étranger. « On fait une bonne équipe ! Ma vue m'est revenue. C'était un plan maléfique, effectivement. Onewa a eu raison de faire appel à moi. Il y avait un masque infecté derrière les balles de Koli… Mais qui l'a placé ici, et a placé les balles à côté ? »

« Même si Po-Koro est en sécurité maintenant, nous avons découvert un mystère encore plus grand. Je crains que l'influence de Makuta puisse s'étendre au-delà des Rahi, maintenant... »

« Je ramènerai cette nouvelle à Po-Koro, et les aiderait à emporter les balles à la mer. Mon Masque de Pouvoir me permettra d'atteindre le village assez vite, je pense, pour sauver même Huki. »

« Tu es un allié rusé, ami, et courageux. J'espère que nous nous rencontrerons à nouveau, un jour. »

Et avec ça, il est parti. Je ne peux que conclure que j'ai rencontré le Toa connu sous le nom de Pohatu.

Je retourne à Po-Koro aussi vite que mes jambes le permettent. Je cherche Onewa pour lui dire ce qui s'est passé.

Retour à Po-Koro

« Salutations, héros ! » crie Onewa. « Pohatu est déjà passé, et est reparti. Les balles de Koli infectées ont été emportées à la mer, et elles ne nous embêteront plus. Les Matoran de mon village récupèrent de la maladie. Je ne suis pas sûr de ce qui est arrivé au marchand qui vendait ces balles de Koli, cependant. Il a disparu avant le retour de Pohatu. »

« Pohatu m'a raconté toutes tes aventures. Nous, tout comme les Matoran de Ga-Koro, honorerons longtemps tes exploits ! Nokama avait raison lorsqu'elle a dit que tu assisterais à de nombreuses choses importantes arrivant à notre île. Elle m'a demandé de te surveiller, et de lui dire si je sens également cela. »

Huki de nouveau en bonne santé

« Je sais maintenant que tu es celui dont l'Astrologue a parlé. Prend cet Outil de Sculpture, qui est un fier symbole de nos meilleurs Sculpteurs. Montre-le à Nokama et elle te donnera le Livre des Chroniques. »

« Je pense que tes voyages se passeront bien. Je te souhaite la vitesse de Pohatu, aventurier. »

Avant de retourner à Ga-Koro, je décide de vérifier les progrès d'Huki. Le terrain de Koli est maintenant plein de joueurs de Koli, et les fans sont rassemblés, criant des encouragements.

À la hutte d'Huki, Huki est maintenant levé, et apparemment plein d'énergie.

« Je serais bientôt assez en forme pour retourner au Koli, et à Maku », me dit-il. « Si tu la vois dans tes voyages, dis-lui que je vais bien ! »

J'accepte de faire cela et part immédiatement le faire.

« Appelez-moi 'Chroniqueur' »

Le livre

« Bonjour de nouveau, » m'accueille Nokama. Je lui montre le burin de Po-Koro.

Elle va droit au but. « Prend ce livre, et prend en soin, et rend toi dans les villages. Il stockera tout ce que tu verras. Si les Toa échouent, et Mata Nui est détruit... cela, au moins, restera. Et l'océan le gardera en sécurité pour nous. »

Honoré par cette tâche, je dis au revoir et me tourne pour partir lorsqu'elle dit : « Bonne chance, Chroniqueur. ». Chroniqueur. J'ai maintenant une identité et un but auquel m'attacher.

Ne sachant pas exactement comment voyager jusqu'aux villages, ni combien de villages il pouvait y avoir, je décide de retourner à Po-Wahi en bateau. Une fois là-bas, je me dirige vers la montagne le long du chemin de pierre que je n'ai pas encore pris.

Chapitre 3 Guide de Mata Nui Online Game Chapitre 5